Le 3eme mandat de Catherine Procaccia s’est terminé le 1er octobre 2023. Dans son « Odyssée » de 19 ans, elle a voulu retracer les grands dossiers qui ont marqué son parcours mais aussi les coulisses des combats qu’elle a gagnés ou perdus, les dossiers improbables qu’elle a eut à gérer et même ceux dont elle aurait aimé se débarrasser (dans un chapitre intitulé « sparadraps du Capitaine Haddock).
Le tout est agrémenté d’anecdotes parfois surprenantes qui font découvrir les dessous des décisions politiques.
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Odyssée : Voyage au cœur du mandat de Sénateur
À quelques jours de la fin de son 3ème mandat, Catherine Procaccia a voulu retracer les grands dossiers qui ont marqué son parcours dans son « Odyssée de 19 ans ». Vous y découvrirez les coulisses des combats qu’elle a gagnés ou perdus, les dossiers improbables qu’elle a eu à gérer, et même ceux dont elle aurait aimé se débarrasser (dans un chapitre intitulé « sparadrap du Capitaine Haddock »).
Le tout est agrémenté d’anecdotes parfois surprenantes qui font découvrir les dessous des décisions politiques.
Pour découvrir cette Odyssée, cliquer sur le lien suivant :Odyssee_Catherine-PROCACCIA-voyage-de-19-ans
Visite au berceau de la phagothérapie
Dernière mission scientifique de la Sénatrice en ce début septembre, à Tbilissi en Géorgie.
C’est là qu’un hôpital spécialisé dans les traitements par les phages existe depuis le début du XXème siècle. Il porte le nom de son fondateur Eliava qui était un disciple de Félix d’Herelle, l’homme qui a découvert ces virus tueurs de bactéries et qui a ainsi permis de soigner les populations jusqu’à l’apparition des antibiotiques.
L’Institut Eliava soignent des patients de très nombreux pays, la plupart en situation d’échec thérapeutique de par leur antibiorésistance.
Vol aux distributeurs de billets : la Cour de cassation tranche en faveur du client
Dans un monde où la créativité en matière de délinquance est sans limite, des bandes se sont spécialisées sur les attaques aux personnes aux distributeurs de billets. Repérant celles possédant une carte premium, ils agressent la personne une fois son code tapé et retiraient le plafond maximum souvent 900€.
En plus de la détresse de se faire voler et agresser, les victimes rencontrent la mauvaise volonté des établissements bancaires qui refusent de rembourser les sommes indument prélevées sous prétexte qu’elles avaient elles même tapé le code. Cette situation a conduit la sénatrice à interpeller il y plusieurs années le Gouvernement, puis l’instance de coordination bancaire en charge de ces problématiques.