Réponse du Gouvernement aux questions écrites : un déni démocratique

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Une des fonctions d’un parlementaire est de contrôler l’action du Gouvernement (article 48 de la Constitution). Dans ce cadre, la Sénatrice pose régulièrement des questions écrites à un ministre afin d’obtenir une réponse sur la façon dont il compte gérer un problème. Les sujets choisis par Catherine Procaccia sont très variés. La dernière question écrite concerne les possibles impacts sur la santé de la pollution que provoquerait le site de retraitement des déchets d’Ivry. D’autres concernent l’approvisionnement en médicaments, certaines des sujets d’aménagement local…
Pourtant, alors que ces questions devraient toutes obtenir une réponse, peu d’entre elles en ont obtenues. Sur 131 questions écrites posées depuis le début de son mandat en 2004, seules 46% ont obtenues une réponse. Pire encore depuis l’arrivée des Gouvernements d’Emmanuel Macron en 2017, puisque les ministres n’ont daigné répondre qu’à 6% des questions de la Sénatrice et parfois avec un ou deux ans de retard alors que le règlement du Sénat fixe un délai de 2 mois.
Encore un signe du mépris de ce gouvernement vis-à-vis de la représentation nationale.

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Echange avec l’Ambassadrice des Philippines

Dans la poursuite des échanges par visio-conférence avec les ambassadeurs de France dans les îles du Pacifique, Catherine Procaccia a organisé un échange avec Madame l’Ambassadeur des Philippines, Madame Michèle Boccoz, qui est accréditée pour les Iles Marshall, les Etats fédérés de Micronésie, et Palau, 3 des 18 îles que couvre le groupe d’amitié que la sénatrice préside.
Au menu : bilan sur la pandémie dans ces îles, en grande partie épargnées de par la fermeture des frontières et leur éloignement géographique, l’influence grandissante de la Chine dans cette vaste région et les incidences du changement climatique sur la vie quotidienne des îliens.
Un échange enrichissant pour tous.

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Photo de Micronesie, Ponhopei, Septembre 2010

Adaptons le système éducatif aux conditions sanitaires

workLa crise sanitaire et la fermeture de nombreuses entreprises posent des problèmes aux jeunes qui doivent effectuer des stages. Après avoir obtenu, avec sa collègue sénatrice Laure Darcos que les stages de 3ème soient rendus facultatifs,  Catherine Procaccia  a interpellé le ministre de l’enseignement supérieur afin que les élèves en filière professionnelle ne soient pas pénalisés s’ils n’arrivent pas à réaliser le stage obligatoire prévu dans leur cursus.