Nuisances sonores dans le bois de Vincennes

Capture d’écran 2023-03-14 170947Catherine Procaccia a interpellé le ministre de l’Intérieur sur les nuisances sonores dans le bois de Vincennes. En juin dernier, un festival – « We Love Green » – a une nouvelle fois provoqué le mécontentement des habitants des communes du Val-de-Marne. Les résidents des villes plus éloignées du bois, comme Ivry-sur-Seine ou Alfortville, ont aussi été dérangés par le bruit de la fête. Pourtant, la directrice de l’événement a assuré que le volume de la musique était conforme aux règles légales. La Sénatrice a donc interrogé le Gouvernement s’il comptait revenir sur ces normes.
Gérald Darmanin lui a répondu qu’une médiation s’était mise en place et que les organisateurs avaient accepté de baisser le volume de la musique. Il précise que des seuils sonores plus contraignants pour les lieux ouverts, ont déjà été mis en place par décret en 2017. Mais, seul le ministre de la Santé est compétent pour effectuer une éventuelle modification de ces derniers.
Il est à regretter que le bois de Vincennes situé en zone d’agglomération dense soit soumis aux mêmes règles que des zones de campagne vide d’habitants.

Rave-parties : refus d’agir du Ministre de l’Intérieur !

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En juillet dernier, Catherine Procaccia a interrogé le ministre de l’Intérieur à propos des raves-parties sauvages. Alors que le préfet de département est compétent pour interdire ces fêtes et qu’en cas de violation de cette interdiction, une amende de 1 500 euros et des réquisitions administratives peuvent être décidées. Dans la réalité rien n’est appliqué. Sans compter que tous les moyens ne sont pas mis en œuvre pour éviter leur tenue alors qu’elles sont organisées et connues par la voie des réseaux sociaux. La Sénatrice a donc demandé au ministre de l’Intérieur pourquoi rien n’était fait pour les empêcher et s’il envisageait une hausse du montant de cette demande.
Dans sa réponse, il apparaît clairement que Gérald Darmanin ne prévoit même pas une surveillance renforcée que ce soit des réseaux sociaux ou par l’envoi de la police, afin d’empêcher la tenue des raves-parties. Le ministre se refuse aussi à augmenter le montant de l’amende.
Bref, en ce domaine comme dans d’autres, des déclarations mais aucune sanction ; pas étonnant que les raves-parties se multiplient, y compris dans le bois de Vincennes.

Le président du Sénat visite le Val de Marne

20230217_133945Vendredi 17 février, la sénatrice Catherine Procaccia et ses collègues Christian Cambon, Laurent Lafon et Michel Herbillon, ont accompagné le Président du Sénat, Gérard Larcher venu rencontrer les élus locaux du Val-de-Marne à l’invitation d’Olivier Capitanio, Président du département.

Un premier temps fort s’est tenu au centre d’entrainement hippique de Grosbois, de renommée internationale.  Après avoir visité le centre vétérinaire du domaine où il avait lui-même exercé en tant que vétérinaire de l’équipe de France d’équitation le Président Larcher, a évoqué devant les maires et conseillers de la majorité départementale, le travail et les actions du Sénat pour défendre la libre administration des collectivités, de plus en plus remise en cause par le Gouvernement.

Puis il s’est rendu à Valenton, à l’invitation de Metin Yavuz, pour se faire présenter les enjeux de la rénovation urbaine dans le quartier de Lutèce-Bergerie qui bénéficie d’un programme ANRU.

La journée s’est conclue par une visite du chantier de la future gare du Grand Paris Express de Champigny-Centre.

Une journée dense mais caractéristique de la diversité et des enjeux du Val-de-Marne

Entreprises du Plateau Briard au Sénat

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Ce 8 février, Catherine Procaccia a eu le plaisir de recevoir les membres du Club Entreprendre en Plateau Briard au Sénat, présidé par Eric Baude Maire-Adjoint de Santeny. Elle leur a fait découvrir les Salles des Conférences et du Livre d’Or et la Bibliothèque. La Sénatrice a résumé l’histoire du Palais du Luxembourg, et a expliqué l’évolution de son travail depuis le développement du numérique au Sénat ces dernières années. Elle leur a raconté qu’elle fut la première à venir avec un ordinateur portable dans l’Hémicycle et que les huissiers s’interrogeaient pour savoir si c’était autorisé. Mais le règlement du Sénat avait été écrit avant l’apparition de la bureautique !